Ce chêne a grandi dans un environnement différent de l’actuel, probablement des pâturages, ce qui explique sa faible hauteur et sa grande largeur.
Ce chêne, vieux de 325 ans, encore sain et vigoureux, classé en 1993, est un arbre d’un âge vénérable, d’une belle envergure, particulièrement droit et proportionné.
Hêtre de plus de 170 ans, splendide de par sa rectitude et son élancement.
« Avant le XIVème siècle, Soissons n’avait pas de promenades publiques. En 1305, les maires et échevins de la commune obtinrent du comte de Soissons une île située entre le château (Hôtel de ville) et la rivière. lire la suite...
Arbre centenaire d’après la propriétaire
Ce poirier plus que centenaire présente l’originalité d’avoir une petite partir greffée en poire au couteau sur le côté, le reste étant de la poire plutôt à jus.
Arbre ayant une forme particulière, un chêne et un hêtre accolés et enlacés.
Intégré dans un jeune peuplement, il s’agit d’un arbre monumental.
Bouquet de 4 Charmes, aux troncs cannelés, rectitude des arbres et bien proportionnés avec de beaux houppiers.
Alignement de 13 pins âgés d’environ 210 ans
L’arbre aurait plus de 150 ans, il s’agirait d’un cadeau venant des Etats-Unis, reçu par un soldat installé en France.
Ce marronnier a probablement été planté vers 1850, date de la restructuration du château. Il a vu passer la première et la seconde bataille de la marne (Bataille du Grand Rozoy), des soldats français se sont abrités en dessous durant cette bataille.
Avant 1914, l’arbre est dans le parc du « château », en fait une belle demeure, dotée d’un grand parc, appartenant en premières noces, à un industriel parisien originaire de Dijon (dont le père est l’inventeur du « biscuit », lire la suite ...
Arbre fendu en deux, probablement par la foudre au vu des traces de brûlures. Il tient debout avec moins de la moitié de son tronc.
Groupe de 4 platanes délimitant l'entrée du château de l'Ocq détruit en 1917. Sans doute déjà centenaires à l'époque, ont brulé pendant la contre-offensive de juin 1918, et se sont régénéré par l'écorce, donc creux, pouvant abriter des animaux du pâturage ou des enfants en recherche d’aventure.
Ces deux platanes ont probablement été plantés au début XVIII en même temps qu'a été construit le premier château incendié en 1870. Nous avons des photos antérieures à la 1e guerre où il semble déjà avoir une taille imposante. Ces deux arbres ont survécu à la destruction totale du parc en Février 1917.
Chêne de 215 ans, encore sain et vigoureux, classé en 2002, un arbre particulièrement droit, repéré pour la commémoration du bicentenaire de la naissance d'Alexandre Dumas.
Pin de 70 ans, sain et vigoureux, classé en 1996, essence unique en forêt de Retz, arbre particulièrement droit.
Tilleul âgé de 205 ans, seule essence de tilleul de cet âge dans la parcelle, particulièrement droit.
Hêtre de 70 à 80 ans, original de par les deux tiges soudées à 6 mètres de hauteur.
Hêtre de 135 ans encore sain et vigoureux, curiosité morphologique avec tiges issues d'un même pied.
Chêne de 285 ans encore sain et classé en 1966, d'un âge vénérable et d'une grosseur considérable.
Situé dans le parc de l’ancien château de Richecourt qui est une propriété privée. Cet arbre date de la période d’existence du château (avant 1918), château qui appartenait au marquis de Lauriston.
Situé dans le parc de l’ancien château de Richecourt qui est une propriété privée.
If situé dans le parc d’une propriété privée du XIXème siècle, l’arbre est plus âgé que la propriété. Certains troncs coupés fusionnent à 1,5m de hauteur.
Châtaignier qui se trouvait à l'origine près d'une fermette, détruite depuis plus d'un siècle. Il aurait un âge estimé à plus de 250 ans. Cet arbre sert de repère et de lieu de rendez-vous pour tous les habitants du village.
Ce platane se situe dans une propriété privée. Ayant résisté aux deux guerres, l’arbre présente des blessures apparentes très certainement dû à des éclats d’obus ou à des projections. Le château a dû être reconstruit suite à des bombardements français pour déloger les soldats allemands qui l’occupaient. Isolé, l’arbre a un très beau port champêtre.
Il a été planté lors de l'inauguration du cimetière militaire allemand le 31 octobre 1915. Le séquoia a une signification particulière dans la mythologie allemande puisqu'il est le symbole de la force et de l'immortalité.
Planté initialement en 1918, en commémoration de la victoire des alliés, son prédécesseur est mort au bout de deux ans, celui dont nous parlons lui a succédé et a été mis en terre en 1920. Il sert maintenant de point de repère dans la commune.
Agé d'environ 180 ans, il était situé dans l'ancienne propriété de la famille Dreyfus. Aujourd'hui, il est au milieu de la chaussée. Un petit panneau à son pied reprend l’histoire de cette essence, aussi appelée « arbre aux quarante écus ».
Au chevet d'une vieille église, entourée d'un parc du XVIIe siècle et d'un château du début du XIXe siècle, une succession de jardins dessinés par la paysagiste Sonja Gauron : un jardin de curé, de roses et de plantes officinales, un jardin anglais, camaïeu de couleurs, puis un jardin blanc, un jardin romantique, un jardin d'eau, un jardin sauvage des hydrangeas, des rhododendrons et un cadran solaire analemmatique.
Au chevet d'une vieille église, entourée d'un parc du XVIIe siècle et d'un château du début du XIXe siècle, une succession de jardins dessinés par la paysagiste Sonja Gauron : un jardin de curé, de roses et de plantes officinales, un jardin anglais, camaïeu de couleurs, puis un jardin blanc, un jardin romantique, un jardin d'eau, un jardin sauvage des hydrangeas, des rhododendrons et un cadran solaire analemmatique. Les ifs forment une demi-lune, l’ensemble est appelé « la ronde des fées ».
Il daterait de 1850, se situant à quelques mètres de la route menant au bois Belleau, il domine toute la plaine Orxoise. Ce poirier a été épargné de la contre-offensive des alliés à Château-Thierry en juin 1918. Il a servi de point stratégique à l'Etat-Major allemand durant la 2ème Guerre Mondiale, notamment en tant qu'observatoire anti-aérien. Ce poirier apparaît comme un témoin vivant des deux guerres du XXème siècle, qui ont ravagées la région. Un panneau à son pied reprend ces phrases : « Poirier du 19ème siècle. Il servit de cimetière provisoire américain en 1918. En 39-40 les allemands en firent un observatoire aérien. »
Ces ginkgo datent de l'époque du parc, ils ont environ 170 ans.
Il aurait environ 200 ans. Il doit son nom à l'étang de Malva près duquel il a été planté. Ce nom est dû à la présence de nombreuses mauves (Malva sylvestris) que récoltaient les ermites de Saint Hubert.
Il a été baptisé en 1996 pour le 20ème anniversaire de l'Association "Les Amis de la Forêt de Retz", il aurait environ 180 ans.
Ce chêne, d'environ 350 ans, est déjà présent dans l'inventaire des arbres remarquables réalisé en 1907 par les ingénieurs des Eaux et Forêts. Il doit son nom à la fontaine des Gardes près de laquelle il se trouve ; il se situe également à peu de distance de la Pierre-Clouise, célèbre monolithe gréseux.
Il a été planté vers 1746, c'est le seul arbre du département classé remarquable au niveau national par l'ONF. Le terme de Géneau vient du nom que l'on donnait à une certaine époque aux forestiers inspecteurs généraux. Depuis la D937, un fléchage guide le visiteur vers une aire d'accueil aménagée. Au pied du chêne un panneau rappelle ses principales caractéristiques.
Il a malheureusement été foudroyé plusieurs fois.
Le château de Condé a été construit par le Cardinal de Bourbon au XIIème siècle, puis remanié au XVIème et XVIIème siècle. L'alignement de platanes, qui daterait de 1720, était déjà représenté sur un plan du XVIIIème siècle. Ils ont été plantés pour résorber l'eau, ils remplacent ainsi des chênes plantés par le Cardinal de Bourbon. Le château possède une grande richesse intérieure, due en partie au grand salon et aux peintures réalisées par Servandoni au XVIIIème siècle.
Lors de l’inventaire de 2000-2002, le bouquet comptait 5 hêtres pourpres. Il n’en reste plus que 3 suite à une tempête.
Il est accolé à un séquoia.
Ces deux chênes historiques se trouvent dans la Forêt du Nouvion, route de la Croix des Veneurs, ils sont à peu de distance l'un de l'autre. Au début du XIXème siècle, ils étaient déjà très impressionnants. Ils ont tous les deux étés classés parmi les sites et monuments naturels de caractère artistique par Arrêté du ministère des Beaux-Arts le 5 octobre 1925. Le "Chêne François" aurait été planté en 1519 à la naissance du Duc François de Guise, qui défendit Metz et reprit Calais (il est mort en 1563). Le "Chêne Henri" aurait été planté en 1550 à la naissance de Henri de Guise (fils de François), qui fut assassiné à Blois en 1588.
C'est un arbre femelle. Le Château édifié par les équipes royales de Charles V, est dans le style des Châteaux Princiers du XIVème siècle. Aménagé dans le parc du château en 1998, l'arboretum comprend cinq zones plantées d'origine géographique très différente (érable, magnolia, savonnier, hêtre pourpre, marronnier...). Des plaques ont été installées avec le nom scientifique de l'espèce et sa provenance (et pour les arbres les plus récents leur date de plantation). Les arbres inventoriés ont certainement été plantés vers 1860, quand le logis (du XVIème siècle) a été racheté par un peintre.
Il aurait environ 350 ans, il se trouve juste à côté de l’église.
Le tronc est creux et il se divise en trois parties. Le parc du château de Vic est attribué au paysagiste M. Le Nôtre, il regroupe plusieurs essences d'arbres.
C'est un arbre à cinq têtes. Le parc du château de Vic est attribué au paysagiste M. Le Nôtre, il regroupe plusieurs essences d'arbres.
Il daterait de la construction de la ferme avoisinante en 1781 (lieu-dit les Maisons Maquet).
Le Chêne Artois aurait 700 ans, il faisait partie de l'ancien prieuré de Coincy. (Cf. article de l'Union du 23/07/95)
Il serait âgé de 400 ans, mais il a malheureusement souffert dela tempête de décembre 1999, qui a arraché une de ses plus grosses branches. A son pied, un petit panneau ludique a été installé ; les caractéristiques de l'arbre y sont notamment reprises. Ce chêne aurait vu les troupes napoléoniennes qui refluaient après la bataille de Montmirail pour aller vers Montfaucon. Les blessés, laissés sur place, furent achevés par les femmes violées sur Fontenelle-en-Brie.
Ce Cèdre se situe en bordure de la D1 ou "route de Brunehaut". Vers l'an 500, la reine Brunehaut possédai une métairie à La Couture (commune voisine). Elle avait une rivale le reine Frédégonde, morte vers 70 ans dans un cirque les cheveux attachés à un cheval. Ce cèdre aurait environ 200 ans : il daterait de la famille de Tillancourt (ancien propriétaire). M. de Tillancourt fût maire de Montfaucon ; pendant la bataille de Montmirail, il rassembla 16 volontaires dans le village pour attaquer les Russes. Ils réussirent à capturer 25 russes et leur prendre 32 chariots de victuailles alors que la disette régnait. Aucun volontaire ne fut blessé.
Il aurait environ 230 ans.
Agé d'environ 170 ans. Le jardin de la société d'horticulture naît en 1865, le domaine est reconstitué (et remodelé par un architecte paysagiste, Eugène Denis) en 1897 où une large place est donnée aux arbres fruitiers. Le parc a été peu endommagé par la guerre de 1914-1918. Les travaux réalisés en 1968 maintiennent la tradition paysagère du XIXème siècle.
Il aurait environ 120 ans. Le jardin de la société d'horticulture naît en 1865, le domaine est reconstitué (et remodelé par un architecte paysagiste, Eugène Denis) en 1897 où une large place est donnée aux arbres fruitiers. Le parc a été peu endommagé par la guerre de 1914-1918. Les travaux réalisés en 1968 maintiennent la tradition paysagère du XIXème siècle.
Planté après 1830, il serait le plus beau des 3 ou 4 cèdres plantés en France. Les premiers cèdres de l'Atlas ont été introduits en France au XIXème siècle (1836 et 1839 pour les deux premiers).
C'est un arbre de la Liberté, planté en 1848, en face de l'église fortifiée des XII et XVème siècles.
Plantés vers 1850-1860, ils sont le symbole de l'époque glorieuse du château. Ce sont les seuls tulipiers de cet inventaire. Le tulipier de Virginie, originaire de l'Est des Etats-Unis, a été introduit en Europe vers 1630.
Il serait âgé de plus de 300 ans. Le 25 juin, à la Saint-Eloi (patron des fermes et des industries qui s'y rattachent), une procession-cavalcade a lieu (acte de piété collective qui doit avoir une origine religieuse). Avant la révolution, le lendemain de la fête de Saint Jean-Baptiste, il se tenait une foire qui était inaugurée par une procession à laquelle les gens assistaient à cheval. Après la cérémonie, les cavaliers commençaient une course de 1/4 de lieue. Le premier arrivé au but était récompensé d'un jambon orné de fleurs, et le second obtenait une serviette.
Son nom est lié à l'histoire du protestantisme en Thiérache : il existait déjà en 1730. Il se situe au carrefour des chemins menant à quatre villages protestants. (Pour les 400 ans de l'Edit de Nantes donc en 1798, la plantation d'un second chêne avait été envisagée, mais le carrefour serait devenu trop dangereux.
Ils ont été introduits en France en 1850, ces arbres poussent spontanément en Chine.
Il se trouve dans le jardin d’agrément du Familistère, mais il est antérieur à la création de ce jardin. Il a une forme particulière au niveau du tronc (bourrelet cicatriciel) qui est dû à sa greffe. En effet, à l’origine cet arbre était un hêtre commun sur lequel on a greffé un hêtre pleureur. Le jardinier estime qu’il a entre 150 et 200 ans.
Le Château édifié par les équipes royales de Charles V, est dans le style des Châteaux Princiers du XIVème siècle. Aménagé dans le parc du château en 1998, l'arboretum comprend cinq zones plantées d'origine géographique très différente (érable, magnolia, savonnier, hêtre pourpre, marronnier...). Des plaques ont été installées avec le nom scientifique de l'espèce et sa provenance (et pour les arbres les plus récents leur date de plantation). Les arbres inventoriés ont certainement été plantés vers 1860, quand le logis (du XVIème siècle) a été racheté par un peintre.
Ce chêne âgé d'environ 230 à 250 ans, a été baptisé le 25 mars 1990. A son pied, un panneau rappelle ses principales caractéristiques.
Il se trouve en bordure de propriété et il a d'ailleurs cassé le mur. Le mur a été aménagé en conséquence. Bourguignon-sous-Montbavin est le village des frères Le Nain (peintres du XVIIème siècle), il est classé site historique.
Il se trouve dans une propriété, mais est visible de la rue. Son tronc se divise en cinq à 1,60m du sol.
L’arbre a probablement été planté en 1857 et actuellement il a une branche qui menace de tomber (celle-ci est maintenue à l’aide d’une corde). Pendant la 1ère Guerre Mondiale, il a reçu un éclat d'obus ; il servait également de repère sur les cartes d'Etat-Major de l'Armée (arbre repère dans le paysage). La rue adjacente dans laquelle il se trouve a été baptisée rue du Peuplier.
Ils se trouvent sur la place du village et sont la fierté du village. Ils étaient déjà là avant la 1ère Guerre Mondiale (présents sur une carte postale).
L'allée de tilleuls a environ 140 ans et elle aboutit à la porte du château qui avait remplacé l’abbaye bénédictine. En effet, à l’époque napoléonienne, un château bourgeois remplaça l’abbaye disparue et le clos des moines se transforma en un beau parc arboré embelli par ses propriétaires successifs. Lorsque la Grande Guerre arrive, le château est occupé par les officiers des régiments allemands de passage et devient une kommandantur en 1917. En octobre 1918, au moment de leur retraite, les Allemands font sauter le château avec une mine à retardement. Il ne sera pas reconstruit.
Ce témoin historique a été planté vers 1770 dans la cour de la ferme attenante à l’abbaye bénédictine qui s’élevait en cet endroit. A l’époque napoléonienne, un château bourgeois remplaça l’abbaye disparue et le clos des moines se transforma en un beau parc arboré embelli par ses propriétaires successifs. Lorsque la Grande Guerre arrive, le château est occupé par les officiers des régiments allemands de passage et devient une kommandantur en 1917. En octobre 1918, au moment de leur retraite, les Allemands font sauter le château avec une mine à retardement. Il ne sera pas reconstruit.
Il aurait environ 120 ans et il se trouve dans une partie inaccessible au public. Les premiers cyprès chauves ont été introduits en Europe au milieu du XVIIème siècle. Le jardin de la société d'horticulture naît en 1865, le domaine est reconstitué (et remodelé par un architecte paysagiste, Eugène Denis) en 1897 où une large place est donnée aux arbres fruitiers. Le parc a été peu endommagé par la guerre de 1914-1918. Les travaux réalisés en 1968 maintiennent la tradition paysagère du XIXème siècle.
Le jardin de la société d'horticulture naît en 1865, le domaine est reconstitué (et remodelé par un architecte paysagiste, Eugène Denis) en 1897 où une large place est donnée aux arbres fruitiers. Le parc a été peu endommagé par la guerre de 1914-1918. Les travaux réalisés en 1968 maintiennent la tradition paysagère du XIXème siècle.
Il a été planté il y a 100 ans, c'est une essence originaire des régions chaudes d'Asie et qui produit des fruits comestibles nommés kakis. Le jardin de la société d'horticulture naît en 1865, le domaine est reconstitué (et remodelé par un architecte paysagiste, Eugène Denis) en 1897 où une large place est donnée aux arbres fruitiers. Le parc a été peu endommagé par la guerre de 1914-1918. Les travaux réalisés en 1968 maintiennent la tradition paysagère du XIXème siècle.
Ce chêne rouvre, d'environ 250 ans, se situe sur le lieu-dit des fillettes, nom donné à trois menhirs qui aujourd'hui n'existent plus. A son pied, se trouve un panneau rappelant ses principales caractéristiques et relatant l'histoire de son nom.
Ce peuplier noir est situé sur l'exploitation agricole de la Ferme de la Genetre (section A 581) à 200 mètres au sud du corps de ferme et à 100 mètres du chemin rural dit des Louvresses à La Genetre.Cet arbre d'une circonférence de plus de 6 mètres est au pied d'une source avec une petite mare. Il possède un tronc creux et une branche principale cassée.